Le parti politique Haïti par la foi pour l’alternance démocratique atteste que la misère est un fléau utilisé par l’influence étrangère en Haïti

Le parti politique Haïti par la foi pour l’alternance démocratique atteste que si la misère est un fléau utilisé par l’influence étrangère en Haïti, nous devrons conclure qu’en dépit des efforts et des engagements des fils et filles d’Haïti pour changer le paradigme, la situation restera telle qu’elle est, indépendamment de leur volonté citoyenne.

Malgré de bonnes tentatives collectives de certains secteurs de l’élite politique et sociale désirant voir une Haïti moderne
après plus de 500 ans sur cette terre mystérieuse, l’île d’Haïti semble être destinée à susciter un refus systématique à la domination de l’homme par l’homme. Quisqueya qui devient Haïti le 1er janvier 1804 porte en son sein le sens pratique de toutes notions de liberté qui ont fait échec au système esclavagiste mondial. L’impératif du sens pratique de liberté se concrétise par la magie du comportement activée par la biologie propre d’une race réduite en esclavage mais victorieuse du système le plus inhumain qu’a connu l’humanité dont Haïti et ses ancêtres sont artisans.

Le naturel génétique de la race noire toute entière est redevable à l’action génératrice des ancêtres du peuple haïtien. Le prix à payer est aussi la négligence vis-à-vis de nous-mêmes pensons que les colons disparaîtraient avec le système esclavagiste dans le monde pourtant qui se renouvelle toujours des sentiers d’injustice de l’histoire ; les générations qui ont vécu malheureusement l’assassinat du patriarche de liberté humaine dans le sens pratique, à savoir l’empereur Jean-Jacques Dessalines le Grand ont dû transmettre aux générations suivantes le fardeau de cette transgression où l’œuvre inachevée du père fondateur de la nation haïtienne pèse très lourde dans la balance du destin d’Haïti découlant aussi les grands défis du présent et de l’avenir.

Haïti, terre riche en tout ! Que vient chercher la misère dans le carrefour des intérêts des puissances hégémoniques d’hier ? La terre regorgeait de ressources minières et d’un règne végétal à nul autre pareil où l’émotion des plus grands navigateurs travaillant pour le compte des puissances hégémoniques ne faisait que rendre témoignage d’une nature spectaculaire qui multipliait l’attraction des

pays colonisateurs s’enrichissant de cette terre. L’exploitation de cette terre trop riche mobilisait l’instinct de tous les continents, créant une rivalité entre les puissances hégémoniques, politiques et commerciales de l’air colonial dans le monde dit civilisé, lançant aussi la machine de l’exploitation totale réduisant la liberté de toute une race, de tout un continent, l’Afrique dans la servitude absolue. Cette histoire à pages ouvertes contient des chapitres dont l’un le plus triste de l’humanité est l’exploitation de la race noire pendant des siècles et la conspiration perpétuelle à leurs égards d’hier et aujourd’hui encore, certains milieux intellectuels et de droit international semblent vouloir porter la question de la réparation des cruautés du passé.

Pour les défenseurs de la liberté, cette réparation reste et demeure l’équilibre à établir ouvrant les opportunités pour les peuples du continent exploité d’où viennent les racines du peuple haïtien. Si toutefois la réparation s’effectuait, la misère d’Haïti serait écartée, laissant place au combat naturel pour la multiplication des efforts du peuple pour enfin construire

l’émergence de son mieux-être commun.

La réparation des cruautés du passé des exploitations faites par le système esclavagiste est pour le Parti politique Haïti par la foi pour l’alternance démocratique l’acte fondamental de la justice à la mémoire des générations disparues rétablissant une certaine prise de conscience et vérifiant les regrets des torts irréparables.

Les puissances esclavagistes s’affrontaient pour avoir leur part de la richesse de cette terre ; la terre d’Haïti ! Si la manipulation historique et l’influence étrangère veulent réduire au silence la génération d’hommes et de femmes de nos élites qui sont appelés à travailler pour la réhabilitation de l’impératif des libertés en s’inspirant de la mémoire de nos ancêtres, il est donc important de reformuler la question observatrice ; La misère en Haïti est-elle naturelle ? D’où vient-elle ? Nous mettons en question tous les savoirs universitaires et leurs consciences intellectuelles de nous convaincre par des analyses dépourvues de financement extérieur sur le naturel de cette misère qui s’installe et qui ne fait que

nourrir l’influence, laquelle s’agrandit en détruisant tous les repères de notre identité d’origine, de race, de peuples et de nation.

Cette influence se fait aujourd’hui une formalisation du projet visant à nous remplacer à travers le processus de banalisation de tout ce qui constitue notre patrimoine d’identité d’origine, de race, de peuple et de nation.

Il faut préciser que depuis un certain temps, on assiste à la disparition de toutes les infrastructures culturelles d’Haïti : le théâtre haïtien, les écoles de musique folklorique, les salles de spectacle, de cinéma, de musée, l’affaiblissement des foyers culturels et les ateliers de peinture ; la disparition de nos artistes, la diffusion à contresens éliminant la musique diversifiée haïtienne, l’annulation de toute forme d’émission capable de promouvoir l’âme de la nation sur ses valeurs immatérielles pour la sauvegarde de notre identité d’origine, de race, de peuple et de nation.

Le parti politique Haïti par la foi pour l’alternance démocratique certifie

qu’aucune initiative citoyenne ne saurait porter de solution tant souhaitée si nous ne nous rendons pas compte que l’influence étrangère est dans son extrême volonté de nous remplacer par la conspiration systématique sur ceux qui représentent les éléments essentiels de la culture haïtienne.

Une fois la culture éliminée, que restera-t-il du peuple haïtien ? Et si ça arrive, même l’espace géographique ne pourra témoigner de notre présence dans les Caraïbes. Les Caraïbes constituaient d’état autonome mais rarement indépendantes face à la nation haïtienne D’arc-en-ciel porteuse de la diversité culturelle africaine où des intérêts des puissances toujours attirées par la terre d’Haïti que nous avons conquise au prix de notre sang et de nos aspirations, des hommes et des femmes vibrants de liberté malgré leur doctrine de misère imposée dans un pays essentiellement agricole. Le pourquoi de la misère en Haïti restera un enjeu face à l’intelligence qui étudiera la biodiversité et le potentiel agricole de notre sol, la force du travail de nos populations, le savoir naturel des masses haïtiennes sans lesquelles Haïti ne survivra pas.

Toutes les conditions sont réunies pour que Haïti soit prospère par sa culture, par son territoire, par sa position géographique, par sa diversité ethnique, par sa force de caractère, par sa masse démographique et par sa capacité d’adaptation. Rappelons qu’Haïti et son peuple ne souhaitent que voir les opportunités pour contrecarrer la doctrine de la misère pour enfin entamer la construction de son rêve appliquant la liberté d’être auquel il s’inspire dans leurs appellations de serment de nation née de la liberté, d’égalité et de fraternité. Si la doctrine de la misère reste en place grâce aux influences étrangères, tous les efforts des générations d’aujourd’hui et du futur partiront en fumée.

Le parti politique Haïti par la foi pour l’alternance démocratique pose la question sans arrogance mais avec anticipation le sens d’observation juste pour pouvoir construire le pôle qualitatif de la réflexion sur le devenir de la nation avec tous les engagements de la communauté internationale en Haïti et par rapport à ce qui se passe ; que restera-t-il d’Haïti aux yeux de ceux qui possèdent les plus

grands moyens en vue de diminuer cette misère ?

Même pour un début capable de générer de l’espérance au milieu d’un peuple qui espère. Serons-nous prêts ? Citoyens et citoyennes, à saisir notre arme et à agir par notre foi ? Le parti politique Haïti par la foi pour l’alternance démocratique veille sur le devenir de la nation.